Wall Street a globalement fini en hausse hier, soutenu par les bons résultats de Facebook. Le S&P 500 a enregistré son meilleur mois de janvier depuis 1987 (+7,8%) après un mois de décembre chaotique (-9,2%).
Les discussions sur le commerce entre les US et la Chine ont fini sur une note positive. Donald Trump a déclaré que la Chine avait consenti à acheter davantage de soja américain, mails il a toutefois souligné qu’un accord définitif ne devrait pas être conclu avant sa rencontre avec son homologue chinois Xi Jinping dans un avenir proche.
Dans le même temps, les chiffres sur la croissance en zone euro et en Chine continuent d’être faibles. L’indice PMI manufacturier chinois a connu en janvier sa plus forte contraction en près de trois ans, tandis que la croissance du PIB de la zone euro n’a été que de 0,2% au T4, avec l’Italie qui est tombé en récession.
Dans le sillage de la contraction plus forte qu’attendue de l’activité manufacturière chinoise, les indices asiatiques clôturent dans un ordre dispersé. Le Nikkei gagne 0,07% ce matin (+3,8% en janvier) et le CSI 300 avance de 1,43% (+7,8% en janvier).
Dans la même logique, le dollar australien, très sensible à l’état économique de la Chine, sous-performe ce matin, tandis que la livre, le dollar et l’euro surperforment les autres devises majeures.
L'attention des investisseurs se tournera sur les chiffres définitifs des indices PMI et la première estimation de l’inflation de janvier en zone euro. Le principal événement du jour sera la publication du rapport de l’emploi américain à 13h30 GMT. Les économistes anticipent 165.000 créations d'emplois et un taux de chômage stable, à 3,9%.
Les discussions sur le commerce entre les US et la Chine ont fini sur une note positive. Donald Trump a déclaré que la Chine avait consenti à acheter davantage de soja américain, mails il a toutefois souligné qu’un accord définitif ne devrait pas être conclu avant sa rencontre avec son homologue chinois Xi Jinping dans un avenir proche.
Dans le même temps, les chiffres sur la croissance en zone euro et en Chine continuent d’être faibles. L’indice PMI manufacturier chinois a connu en janvier sa plus forte contraction en près de trois ans, tandis que la croissance du PIB de la zone euro n’a été que de 0,2% au T4, avec l’Italie qui est tombé en récession.
Dans le sillage de la contraction plus forte qu’attendue de l’activité manufacturière chinoise, les indices asiatiques clôturent dans un ordre dispersé. Le Nikkei gagne 0,07% ce matin (+3,8% en janvier) et le CSI 300 avance de 1,43% (+7,8% en janvier).
Dans la même logique, le dollar australien, très sensible à l’état économique de la Chine, sous-performe ce matin, tandis que la livre, le dollar et l’euro surperforment les autres devises majeures.
L'attention des investisseurs se tournera sur les chiffres définitifs des indices PMI et la première estimation de l’inflation de janvier en zone euro. Le principal événement du jour sera la publication du rapport de l’emploi américain à 13h30 GMT. Les économistes anticipent 165.000 créations d'emplois et un taux de chômage stable, à 3,9%.